6 septembre 2012
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Grand Merci à l'Ami Claude Burkel pour son article ci-après, avec les deux photos jointes avec (voir ci-dessus) !... :
LES CONTACTS DE L’ABSURDE
MER DE LA TRANQUILLITE (Lune), 21 Juillet 1969 : « Deux astronautes terriens, Neil Armstrong et Edwin Aldrin, foulent le sol de la Lune. Une
plaque « commémorative » rectangulaire, fixée à l’un des pieds du module Lunaire Eagle, porte gravé le texte suivant :
-
HERE MEN FROM THE PLANET EARTH – FRIRST SET FOOT UPON MOON – JULY 1969, A, D, - WE CAME IN PEACE FOR ALL MANKIND »
-
(Ici des hommes de la planète Terre ont posé pour la première fois le pied sur la Lune. Juillet 1969 ap. J- C . Nous sommes venus dans un esprit de paix au nom de toute l’humanité.)
Suivent les signatures de Neil Armstrong astronaute, Michael Collins astronaute, Edwin Aldrin, astronaute, Richard Nixon Président, Etats-Unis
d’Amérique.
Ce que l’on sait moins, c’est qu’une capsule cylindrique, en silicone à 99,9999 % de pureté, traitée pour résister à des températures lunaires (de + 250° C
à -100° C) et aussi restée sur la Lune. Sertie dans une monture à 11 pans, en aluminium argenté par électrolyse, pas plus grande qu’un tube de rouge à lèvres, cette capsule de dimension si
réduites porte néanmoins gravés en elle les messages de 74 chefs d’Etats et 4 documents comprenant la liste des officiels de la N.A.S.A., celle des membres des comités sénatoriaux et
parlementaires, un extrait de la Loi national sur l’aéronautique et l’espace signée par le Président Eisenhower en 1958, et des citations des Présidents Kennedy, Johnson et Nixon. Elle a été
fabriqué en un temps record par la Division des semi-conducteurs de la firme Sprague Elecric Co., grâce au procédé
Microperm, sous la direction du docteur Robert S. Peper. Les plaques de cette capsule constituent donc, avec leurs textes en diverses
langues, une véritable « Pierre de Rosette ».
Nous avons bien l’habitude, sur Terre, de poser des plaques commémoratives ; que cette tradition terrienne s’étende à la Lune, quoi de plus
naturel ? Mais elle ne concerne que la plaque rectangulaire « commémorative ». Alors pourquoi ou pour qui la « Pierre de Rosette » ? Réfléchissons : malgré le
silence fait sur cet événement par Mao pour 800 millions de chinois, personne n’ignore plus aujourd’hui l’exploit des astronautes américains, ni leurs noms, ni la date du 21 Juillet 1969 ?
Ni la Mer de la Tranquillité.
Ce qui compte donc bien, ce n’est pas tant la plaque rectangulaire commémorative, mais la capsule de silicone, la « pierre de Rosette ». Et notez
que l’expression (Rossetta Stone) figure en toutes lettres dans la prière d’insérer destinée à la presse, distribuée par Sprague Electric Co., sous la référence NR-155 et datée du 14 Juillet
1969. Y aurait-il eu préméditions ? Car n’importe quel cosmonaute de chez nous, débarquant sur la Lune, connait parfaitement l’existence de cette plaque et de cette capsule ; elles sont
donc, logiquement, parfaitement inutiles en ce qui concerne des astronautes terriens.
Alors, à quel genre de cosmonautes sont-elles donc destinées.
VOICI MAINTENANT LE SECOND FAIT COSMIQUE
ABSURDE
CAP KENNEDY (Pad 36 A ) U.S.A. 27 février 1972 :
Message de « Pionnier-F » aux autres mondes – Pionnier 10 . Premier objet fait de main d’homme, conçu pour s’évader de notre système solaire,
porte un message pictural pour tous les êtres interstellaires qui pourraient l’intercepter et avoir l’intelligence de le comprendre, dans un avenir de millions d’années. Ce message est gravé sur
une plaque d’aluminium dorée par électrolyse, de 152 sur 229 mm, fixée à l’antenne de l’engin et protégée contre l’érosion de la poussière cosmique. Les lignes radiantes, à gauche, représentent
les positions de 14 pulsars ( sources cosmiques d’énergie radio), disposées de façon à désigner notre soleil comme étoile-foyer de la civilisation qui a lancé l’engin.
Les symboles I -, aux extrémités des lignes, sont des nombres binaires qui représentent les fréquences des pulsars au moment du lancement, par rapport à
celle de l’atome d’hydrogène, présenté sous deux formes avec un « 1 » comme unité symbolique. La différence d’énergie entre ces deux états fournit le standard la plus précis de temps
connu de la science. L’atome d’hydrogène, atome le plus abondant dans le cosmos, est ainsi utilisé comme horloge universelle, et la décroissance régulière dans les fréquences des pulsars, peut
permettre à une autre civilisation de déterminer le temps qui s’est écoulé depuis le lancement.
Les figures de droite sont proportionnées à la taille de l’engin spatial et représentent le type des créatures qui l’ont construit. La main de l’homme est
levée en un geste de bienveillance. Le long de la base sont réparties les planètes, disposées à partir du soleil, avec la trajectoire de l’engin spatial, partant de la Terre selon un arc,
dépassant Mars et se rabattant ver Jupiter. Un scientifique américain a estimé que Pioneer 10 couvrira une distance de 3000 années-lumière (30 millions de millions de Km) au cours des prochaines
100 millions d’années, temps qu’il estime nécessaire à sa découverte par une civilisation étrangère. Nous avons donc bien envie de demander, comme pour la « Pierre de Rosette » lunaire
à quel genre de cosmonautes est destiné le message de « Pioneer 10 ».
Et nous pensons que ce dernier, après vous avoir fourni quelques « évidences par l’absurde » suffisamment significatives, vient de concrétiser la
démonstration ab absurdo, de l’existence matérielle d’êtres extraterrestres
intelligents, dont celle de leurs véhicules… appelés vulgairement sur Terre OVNIS….. Et qui sont sur Terre depuis très longtemps…..
Sources : Extrait des sources de Henry DURRANT
N° H. 334 -1973
COURTON-LE-BAS LE 1 SEPTEMBRE 2012
Claude BURKEL
Les articles précédents de Claude Burkel :
Christian Macé Macé