Claude Burkel évoque les explosions atomiques aux USA et en URSS qui sont un secret de polichinelle

EXPLOSIONS ATOMIQUES AUX USA ET EN URSS, secret de polichinelle

Nous avons déjà relaté que des cataclysmes à caractère apparemment atomique expliquaient la création du désert américain entre la Californie et le Nevada. Au XIX° siècle, le capitaine Ives Walker a écrit : « Des traces d’éruptions volcaniques, des blocs carbonisés ou vitrifiés attestent le passage dans cette contrée d’un fléau terrible.. »

En considérant ces tristes restes, les indiens sont saisis d’un religieux effroi mais ils ne savent rien touchant leur histoire. Presque aux antipodes, en Asie, le désert de Gobi présente lui aussi l’apparence d’une région que dévasta dans des temps lointains une grande catastrophique.

S’agirait-il d’explosion atomiques motivées par une guerre totale entre deux super-grands conjecturés de ces temps : l’Atlantide et le continent de Mû ? On est tenté de le penser, d’autant que les traditions des Mayas Quichés font mention d’une immense migration des anciens Mexicains alors cantonnés dans les actuels USA. Sur le conseil de leurs prêtres, ils partirent vers le Sud, fuyant le pays de la mort. Curieuse coïncidence : c’est dans le désert du Nevada que les Américains stockent leurs bombes atomiques et c’est dans le désert de Mongolie que les Russes ont leur principal dépôt !

L’inde est, aussi, une terre que le fléau nucléaire aurait ravagé il y a quelques millénaires si l’on en croit le Ramayana et le Drona Parva : Le feu faisait tomber les ongles et les cheveux des hommes, blanchissait le plumage des oiseaux, colorait leurs pattes en rouge et les rendait tortues. Pour conjurer ce feu, les soldats couraient se jeter dans les rivières pour s’y laver et y laver tout ce qu’ils devaient toucher…

S’il ne s’agit pas des effets de l’irradiation par explosion nucléaire, il faudra aux irréductibles « rationalistes » de tous poils trouver une explication satisfaisante à ce phénomène cataclysmique.  

EXPLOSIONS ATOMIQUES AUX MEMES ENDROITS , AU XX° SIECLE

Plusieurs fois, aux Etats-Unis, durant ces dernières années, des bombes atomiques ont failli éclater – on avance même que deux d’entre elles auraient explosé dans leur silo ; des fuites radioactives ont dix fois, semé l’effroi et la perturbation dans le voisinage des usines nucléaires.

Le sous-marin atomique Tresher, le 10 avril 1963, a coulé au large de New York. Il n’avait probablement pas de bombes A ou H à bord ; par contre le Scorpion , qui coula plus tard en Atlantique entre Açores et USA, en avait très certainement. Lors du séisme de Pâques 1964, le stock US de bombes atomiques de Fort Richardson à Anchorage (Alaska) faillit exploser, certains verrous de sûreté ayant sauté. Les miracles ne se reproduisent pas deux fois. Toujours en 1964, nous avons annoncé dans (Le Livre des Secrets trahis, page 71, Edit. R. Laffont, 1964, voir aussi France-Soir du 10-12-76 , désastre nucléaire dans l’Oural).

En février 1958, une ou plusieurs bombes atomiques avaient éclaté en URSS dans la région du lac Balkhach, faisant de nombreux morts et des milliers de blessé, dont deux généraux russes. Deux ans après la catastrophe, le 9 décembre 1969, après s’être rendu sur les lieux, le professeur israélien Ley Tumerman donna des détails plus précis. Dans la région de Kysthim, la terre était ravagée sur des centaines de kilomètres carrés : maisons effondrées, abandonnées, champs en friche, pas un être humain, pas un seul animal. L’explosion s’était produite dans une usine de production du plutonium.

Une quinzaine d’années après, les produits agricoles vendus au marché de Cheliabinsk étaient passés au compteur Geiger pour contrôler s’ils n’étaient pas contaminés par l’irradiation. Le 25 octobre 1976, entre l’ile d’Osmussaar et la base militaire soviétique de Paldiski, au nord-est de l’Estonie, une explosion accidentelle aurait fait de très nombreuses victimes mais, bien entendu, l’Etat soviétique fit le black-out sur l’affaire.

Les mêmes consignes de silence sont observées en Occident. C’est deux mois après l’accident que l’on apprit les fuites de matières radioactives qui se seraient produites en septembre 1973 (35 personnes contaminées) et en octobre 1976, à la centrale de Windscale, en Angleterre.

L’année 1976 commença l’ère apocalyptique – au sens réel come au sens figuré – avec le « nuage de la mort de Seveso » en Italie qui fit des dizaines de victimes selon les rapports officiels mais qui menaça et contamina sans doute, près de 10000 personnes.

Enfin au tableau de la mort qui nous guette, il faut encore inscrire les insecticides, les poisons hallucinogènes et médicinaux, les accidents de la route, le bruit géniteur de folie et la vague d’attentats criminels dont la mode, née aux USA, est savamment entretenue par la télévision, la radio, le film, la presse sous l’égide bienveillante du ministère de la culture.

Il faut dire aussi ou ce que l’on ne veut pas dire, c’est que le terrorisme à la bombe atomique qui se fera inéluctablement dans les prochaines années mettra en péril notre civilisation. Car cette apocalypse est a la portée de n’importe quelle petite nation affolée, outragée, u violée par un des feux ogres impudents.

FAITES- LA – VOUS-MEME !

Il faut savoir : fabriquer une bombe atomique est du pouvoir de n’importe quel bon ingénieur français, chinois, américain, palestinien, ou sénégalais.

A notre époque en 2010, une bombe atomique coute environ 15000 euro.

Si vous doutiez de ces estimations, je vous donne la formule.

Autre chose, je suis en mesure de construire une bombe atomique, dit un jour John Aristote Phillips, étudiant à l’université de Princeton aux USA. Et pour prouver le bien-fondé de son assertion, le jeune homme «  vingt et un ans » travailla quatre mois et demi à établir le plan d’une bombe atomique A.

Les difficultés – mineures à l’échelon d’un Etat ou d’un puissant groupe politique, consistaient à se procurer un peu de plutonium et une somme avoisinante 10000 NF, c’est dire environ 15000 euro. Or, le plutonium, ou l’uranium 235-238, s’ils ne sont pas dans le commerce libre sont, pour un commando bien armé, aisément volables dans une raffinerie, une université ou un centre de recherche ou d’essai (il ne faut oublier que depuis l’an 2000, il est eu des vols de d’uranium en France).  

Quant au problème d’argent, il va sans dire qu’il est pratiquement inexistant.

Donc, John Phillips établit un plan si simple, si précis que le Pentagone américain en fut stupéfait et alarmé : en somme, n’importe qui pouvait, en 1976, fabriquer une bombe A dont la puissance de destruction fut estimée au tiers de celle qui détruisit Hiroshima le 6 août 1945, alors en 2010, quoi penser !

-J’aurais pu la fabriquer moi-même, assura Phillips. Cela demandait moins de deux mois de travail. Sa thèse avait pour titre : Les principes fondamentaux d’un modèle de bombe atomique. Evaluation des problèmes et des possibilités que trouverait un groupe de terroristes ou de nation non nucléaire voulant fabriquer une bombe à fission PU 239. (Nous sommes en 2010 et certain pays possède la bombe atomique comme par exemple Iran, et cela depuis très longtemps, mais toujours, Top Secret, pour la population !).

Pour mener à bien son étude, l’étudiant s’était inspiré des articles et de livres ayant publié des informations techniques et, en particulier, des publications

officielles éditées par le très officiel «  U.S. Government Printing Office » et vendues 20 dollars par «  The National Technical Service » de Washington !

Phillips a connu le système d’amorçage de la bombe en téléphonant à la Société Dupont de Nemours de Wilmington (Delaware).

Prétextant qu’il effectuait à l’université de Princeton des études sur la fission nucléaire, il demande, tout bonnement, comment il pourrait créer une onde de choc capable de provoquer une explosion. L’ingénieur à qui il s’adressa, lâcha par inadvertance le nom du produit utilisé par l’armée américaine. Il ne restait plus qu’à se procurer ce produit dans une usine du type Société de Raffinage d’uranium, ou Saint-Gobain ou Société de Potasse et Engrais chimiques ! Ou, éventuellement, à le voler !

LE SECRET DE POLICHINELLE

Une bombe atomique artisanale peut très bien être fabriquée par quiconque réussit à se procurer 5 à 6 kg de plutonium. Pas davantage en une seule fois ! Car à 7 kg, et même à moins, le plutonium à la masse critique, explose spontanément.

Le jeu consiste donc à le fragmenter en parties séparées ou isolées par des écrans de plomb ou de cadmium.

(LA MASSE CRITIQUE EST LA MASSE MINIMALE D’UNE SUBSTANCE FISSILE POUR Q’UNE REACTION EN CHAINE PUIISE S’Y DEVELOPPER. ELLE EST FONCTION DE SON DEGRE D’ENRICHISSEMENT, DE LA NATURE ET DE L’EPAISSEUR DU REFLECTEUR A NEUTRONS QUI ENTOURE LA CHARGE. POUR DE L’URANIUM 235 ENRICHI A 100%, LA MASSE CRITIQUE EST DE 15 KG AVEC

UN REFLECTEUR DE 15 CM D’EPAISSEUR. A ENRICHISSEMENT DE 60. LA MASSE EST DE 22 KG. A ENRICHISSEMENT DE 10, ELLE EST DE 130KG.)

L’explosion nucléaire se produira quand toutes les parties seront brusquement mises en contact. La bombe de John Phillips, s’il l’avait fabriquée, a dit le Pr Chilton, physicien spécialisé dans l’énergie nucléaire, aurait très bien pu fonctionner. Elle est, certes, d’un modèle ancien mais pourrait détruire une ville de l’importance d’une grande ville DE 160000 habitants.

Il est difficile d’imaginer comment, à l’avenir, on pourrait éviter une prolifération de bombes atomiques (artisanales) , en notant que bientôt des milliers de réacteurs atomique fonctionneront dans le monde.

A ce moment-là, il y aura une énorme production de plutonium et beaucoup moins de difficulté à s’en procurer.

Que tous les messieurs responsables ne nous prennent pas pour des imbéciles

Merci pour la paix du monde

Sources : Documents de Robert Charroux 1977,( et avec beaucoup de complicités des services Secrets !)  

Courton-le-Bas le 21 décembre 2010

Claude BURKEL