Je suis né le 17 juin 1953 à Corbeil-Essonnes, en France. J'habitais initialement à Cogolin et maintenant à Toulon, dans le Var, en France. Cette photo en entête, je l'ai prise à Cogolin dans le Var en France le 29 septembre 2005 à 18 H 09. On voit deux ovnis que j'ai cerclé en rouge. Je n'avais rien vu à l'oeil nu... Ici l'actualité des phénomènes ovni et paranormaux... J'ai commencé à étudier le Phénomène des OVNIS dès l'année 1969, puis par la suite, je me suis aussi intéressé à l'étude des Phénomènes Paranormaux... J'ai fais parti en France, de diverses Associations de Recherches sur le Phénomène OVNI : "GEPA", "GEOS", "CFRU", secrétaire du Groupe Sentinelle... J'ai rédigé de nombreux articles concernant mes Recherches sur ces Phénomènes OVNIS et Paranormaux. Mon nouveau blog https://presencesautresmondes.blogspot.com/
Chasseurs exotiques et OVNI prétendent avoir découvert l'entrée d'une base secrète UFO souterrain situé à la pointe Kangtega de l'Himalaya népalais.
Une grande surface du pic Kangtega est noirci sur Google Earth, uneindication - selon les théoriciens de la conspiration étrangère et OVNI - que les pouvoirs-que-être (PTB) ne veulent pas que vous voyez ce qui se trouve dans cette région du sommet de l'Himalaya au Népal.
Cependant, certains sceptiques ont suggéré que la zone black-out sur Google Map pourrait être due à un pépin plutôt que d'une tentative délibérée de cacher l'entrée d'une base secrète.
Mais les théoriciens du complot ont Pooh-poohed cette suggestion que les vues délirants de «théoriciens de coïncidence."
La base secrète OVNI présumé a été découvert par YouTube étranger et UFO chasseur MexicoGeek, qui a téléchargé la preuve sur YouTube le 28 Janvier 2016. Depuis MexicoGeek découvert l'entrée, d'autres chasseurs d'OVNI YouTube, comme Secureteam10 et FindingUFO, ont téléchargé les images pour leurs chaînes YouTube.
Les images ont suscité discussions et des débats animés sur les forums d'ovnis au cours des derniers jours. La base présumé se trouve sur la crête Kangtega du Népal Himalaya au point de coordonnées 27 ° 47'43.40 "N 86 ° 49'6.40" E.
Le pic Kangtega - également connu sous le Saddle neige - est un sommet de la montagne majeur dans l'Himalaya au Népal qui culmine à 6.782 mètres (22,251 pieds). Le sommet a été monté première en 1964. Alison Hargreaves et Jeff Lowe a également atteint le pic Kangtega au 1 mai 1986.
Ces zones sont connues dans la communauté OVNI soient hotspots OVNI.Spotters UFO Alien et ont rapporté des phénomènes étranges et suspectes dans ce domaine dans le passé. Observations rapportées dans la région reculée et inaccessible comprennent soucoupes volantes massives et les ovnis orbe émergents des emplacements souterrains.
UFO blogueur Scott Waring a proposé deux explications possibles de la pièce sombre sur les images de Google Earth de la région. Selon le blogueur, la zone sombre pourrait inclure l'emplacement de l'entrée d'une base étrangère métro ou l'entrée d'un gouvernement base militaire top-secret.
Il note que l'emplacement de l'entrée présumée sur la paroi d'une falaise dans le Kongka La Pass coïncide à peu près avec la plus haute crête de l'Himalaya au Népal, et est loin de la direction d'où grimpeurs approchent du sommet. Cela signifie qu'il est peut-être seulement accessible à partir de l'air.
La région est connue pour une activité étrange, mystérieuse et mystérieuse et il est estimé il ya soit une base d'OVNI dans la région ou une installation militaire top-secrète pour des projets étrangers de recherche inverse ingénierie OVNI.
Bien Waring estime que l'inaccessibilité de la zone suggère qu'il pourrait être l'entrée d'une base OVNI extraterrestre souterraine, il reconnaît également que Google peut avoir noirci l'emplacement sur la demande du gouvernement, parce que d'une structure artificielle remarquable représentant l'entrée d'un installation militaire ultra-secrète comme la zone 51, située au cœur de l'Himalaya au Népal.
"Google peut avoir délibérément dissimulé ce domaine de sorte que nous ne pouvons pas voir un centre top secret US gouv militaire."
Waring remarque que les amateurs exotiques et OVNI dont le travail de recherche sur les secrets militaires installations UFO est toujours concentré sur la zone 51 dans le désert du Nevada sont les chercheurs de "vieille école" parce que depuis que le gouvernement des États-Unis ont publiquement admis l'existence de l'installation top-secret de la recherche militaire Area 51 , de nouveaux ont été construits dans des lieux secrets à travers le monde, et ceux-ci ont pris en charge les fonctions de l'ancien Espace 51 installation.
YouTube ufologue FindingUFO, a confirmé les coordonnées de la partie black-out de la zone Neige Selle.
"Vous pouvez rechercher cette découverte pour vous-même avec les coordonnées suivantes sur Google Earth: 27 ° 47'43.40" N 86 ° 49'6.40 "E"
FindingUFO approfondit le mystère intrigant de la zone black-out en notant que «entre le 18 Décembre, 2000 (18-12-2000) & 7 Juin 2015 (06/07/2015) cette entrée secrète (zone sombre) sur Google Earth dans Népal Himalaya n'a pas existé. "
Certains chasseurs d'OVNI ont suggéré que l'observation de FindingUFO pourrait signifier que l'installation est une installation militaire du gouvernement nouvellement construit pour les projets d'ingénierie inverse.
[Image via Luca Galuzzi / Wikimedia Commons]
Maintenant, regardez ce: Vortex Etrange et Orb Spotted proximité de l'installation du CERN
Maintenant, lisez ceci: UFO 'Transporter Craft' parachutages de cargaison en base secrète Alien Sous éruption mexicaine Volcan de Colima [Vidéo]
Publié le 1 février 2013 par marcmcgray
Nous sommes tous réunis au restaurant OTRECHOZE, plus d’une quarantaine de personnes sont présentes pour ce dernier repas de l’année 2012. Je présente tout d’abord les thèmes que nous allons aborder en rapport avec l’expérience de Robert L. qui nous rejoindra via Skype en vidéoconférence de chez son ami Nicolas I. et qui nous fait l’honneur de tous nous recevoir et se joindre à nous à distance de l’Aveyron.
Je distribue tout d’abord parmi les participants des copies imprimées des enseignements transmis à Robert par se hôtes extraterrestres à la base, pour générer des questions dès le début.
Nous nous connectons sur Skype : Robert se présente et nous présente Nicolas qui va commencer sur les observations relatées de cas qui ont été rapportées dans la région autour de la ferme de Roumagnac dans l’Aveyron. Nicolas s’intéresse au phénomène OVNI depuis toujours et surtout depuis que ses parents en ont observé un en 1975 près de la ferme de « Roro » (Robert L.) avec le même aspect « boule lumineuse » que sa description. Il a enquêté dans la région et a pu constater d’autres observations non seulement en 1975 mais aussi en 2012, le même phénomène continu donc aujourd’hui. J’en profite pour montrer une carte de l’Aveyron pour et situer la zone autour de la ferme de Roro, sur un plateau à 400m d’altitude entre 2 vallées. Beaucoup de mégalithes sont recensés dans la région, selon Nicolas. Ce dernier parle d’observation en 1988 d’Ovni à 2 dômes, en 1993, une boule lumineuse à 5km de la ferme de Roro, etc.. nous n’avons pas le temps de tous les citer, Robert a beaucoup de choses à nous raconter. Des observations qui ont duré pendant une semaine près d’un ancien dolmen de la région sont citées, et en 2011 à 15km de la zone 5 boules lumineuses qui se suivaient sans bruit. Je pose la question s’il y a un groupe d’ufologues dans la région, la réponse est non, je cite ODH-TV pour les témoignages
Roro nous parle ensuite, après nous avoir salué, de sa première observation des boules : ce qu’il a vécu, il n’y est pour rien, il a été sollicité, choisi pour vivre son expérience. En 1966, après une fête régionale, il nous raconte sa première observation en rentrant. C’était la saison des foins, sa grand-mère l’appelle pour lui faire remarquer que des boules lumineuses se promènent autour de la ferme. Les jours suivants, on l’avertit que des boules sont à l’extérieur en forme d’obus, les boules se manifestant avant par intermittence. Il voit de nouveau un engin silencieux en forme d’obus, les boules autour montaient et descendaient comme si elles venaient de l’obus lumineux. Quelques jours plus tard il a décidé de s’approcher d’une des boules en la suivant en voiture. Impossible de la rejoindre avec son véhicule, sur la route il a vu un autre « obus » stationné, il s’arrête. Peu après il a senti un coup de chaleur, l’a vu partir à toute vitesse et il a perdu conscience. Il s’est réveillé dans un fossé, en janvier il faisait froid. Il a repris la voiture pour rentrer chez lui, il est arrivé à 4H du matin selon sa grand-mère en étant parti entre 22 et 23H. Il a suggéré d’aller interroger les voisins, ils ne pouvaient pas sortir, car une boule «stationnait » au dessus de chaque entrée. Toute sa famille donc les a bien vues, il n’est pas le seul. Pendant quelques jours après il dormait 18 heures sur 24, avec des rêves étranges de sorties de corps, etc… Plus tard un grand vaisseau au dessus du champ, les a entendu arriver, est monté dans sa chambre sachant qu’ils venaient le voir… des êtres rentraient en passant à travers la matière et les murs. C’était les mêmes « personnes » qu’il avait ensuite rencontré plus physiquement. Un soir il avait un bracelet transparent qui se remplissait de sang.. Surement pour une prise et analyse de sang. Ces êtres au fur et à mesure de leurs visites qu’il nous décrit se présentent comme des « savants » et des « explorateurs d’étoiles » venant d’une galaxie voisine, en communiquant par télépathie avec eux. Ils lui proposent de venir passer du temps sur leur base sur Terre avec eux. Quelques jours de réflexion plus tard, motivé par à la fois sa peur et sa grande curiosité, il décide de partir et prévient son employeur qu’il prendrait une année sabbatique car il devait reprendre la ferme de Roumagnac. Il a raconté à son père toute l’histoire et à sa mère et sa grand-mère qu’il allait travailler à Paris. En 1968 on lui a donné des exercices physiques à pratiquer chez lui, de type yoga.
Nous tentons de nous connecter avec Guy, un ami de Nicolas qui a participé à l’enquête, mais nous avons trop de souci de connexion, la video avec Roro et Nicolas n’est plus visible quand Guy se connecte. Nous sommes donc obligés de continuer sans lui pour la videoconference.
La conférence continue avec quelques questions de la salle pour Roro. Ensuite Roro nous décrit son départ pour la base de l’Himalaya, le trajet a duré 1 heure, il était impressionné par leur technologie, l’ergonomie des fauteuils et la stabilité de l’engin. La communication est hachée avec notre connexion internet, nous avons du mal à tout saisir de ce que dit Roro. Il décrit son arrivée, ses quartiers, sa chambre à la base, le café qui ressemblait à celui de sa mère au niveau gout, etc..Sa visite guidée des lieux, formes circulaires, beaucoup de temps pour en faire le tour, des portes fermées, 3 ateliers principaux où il ne devait pas aller à cause des champs électromagnétiques, et du matériel potentiellement radioactif.
Il suivait les consignes, sa vie de tous les jours pendant 1 ans : il discutait de l’univers, pratiquait le yoga tous les jours pendant 4 heures, le contenu était important, on lui a enseigné les postures sans mentionner leurs noms, il tentait aussi de trouver les bons points d’énergie, ces entités le pratiquaient elles-mêmes, il y a plusieurs formes de yogas, yoga physique et yoga mental ou psychique…pour s’approcher de l’ordre de l’univers… Pour lui la mort n’existe pas, c’est un aspirateur électromagnétique sur place, il a vu son corps, est sorti à distance, maintes et maintes fois.. le corps physique se sépare, c’est un point de départ, pas une arrivée.. Le but était de maitriser les espaces et les temps intermédiaires pour conserver la conscience… c’est comme une transition. On passe d’une pensée à une autre, il faut essayer d’être conscient du temps intermédiaire entre les 2… Il a simplement répété ce qu’ils lui ont dit quant à sa position géographique : il ne sait pas s’il était vraiment dans l’Himalaya, il a vu les montagnes par les fenêtres extérieures… Il n’était autorisé à sortir que rarement et de nuit, selon eux pour ne pas être repérés… Quant il sortait il voyait des montagnes.. il ne saurait pas les reconnaitre aujourd’hui, même avec les photos qu’on lui a envoyées de Google Earth..
Ils lui ont proposé un séjour en vaisseau en France… il a accepté… il monte dans un « vaisseau de combat » selon eux… à travers la paroi transparente, il a vu la Terre s’éloigner à toute vitesse.. ils passent au dessus de l’Italie… en survolant la France il voit 2 avions de chasse, il a vu du panneau l’avion de chasse s’approcher, ils sont montés à son niveau par la droite et passé au dessus et en dessous, il a vu les matricules sur l’avion, vu le pilote se pencher du côté où ils étaient… il a pris peur que l’avion de chasse ne leur tire dessus, le guide lui a dit qu’il n’y avait rien à craindre dans le vaisseau, en cas de confrontation, la démesure technologique pulvériserait l’avion de chasse (Mirage III en 1969) avec leur faisceau de protection ou de tir.. Jean-Claude Venturini, un ufologue, a fait des recherches sur le matricule de l’avion qui venait de la base de Dijon, cela correspondrait à l’époque… il ne sait pas comment le vaisseau pourrait être perçu par le pilote..
Charles P., un participant au repas et ancien abducté, que Roro connait – et nous très bien aussi -, lui pose une question sur l’avion en question retrouvé dans un musée, mais il ne peut pas répondre sans JC Venturini.. il veut lui parler de son symbiote (son implant), que Charles a bien vu à Chalons en Champagne de visu descendre et vibrer le long de son dos.. Le Contre-amiral Pinon et 2 autres personnes l’ont vu aussi.. il a bien toujours son symbiote et veut en parler : quand il a eu droit à des cours d’alimentation, on lui a recommandé le sel comme aliment médiateur, 3 à 4 cuillères à soupe par jour… surtout pendant que le symbiote était activé. A certains moments cruciaux de sa vie, il se produit entre minuit et 3 heures du matin, il se réveille il est allongé sur le dos, et il sent comme un champs vibratoire, et un sifflement léger dans l’oreille gauche (qu’il a léger depuis son séjour dans la base mais est habitué).. Quand ça se produit le sifflement fait un bruit puissant de scie métallique, quand le bruit augmente il ne peut plus utiliser son corps qui ne répond plus (pas de sortie de corps il est dedans).. ça s’est produit des dizaines de fois depuis l’époque de son expérience à des moments importants de sa vie.. S’il veut bouger sans avoir accès à son corps (sans en être à l’extérieur) car il est conscient, il a l’impression d’être comprimé comme dans un étau. Petit à petit le bruit s’estompe s’il se concentre et relâche sa pensée pour tenter de bouger, et ce champs vibratoire s’estompe, après c’est comme si rien ne s’était produit.. Ce phénomène dure à peu près entre 1minute et 1minute 30. Il demande si ça arrive à Charles, non de son côté c’est différent : entre 3 heures et 3 heures 30 du matin tous les jours il se réveille, entend les chants de l’univers et a des réponses à ses questions… au début le téléphone sonnait avec personne au bout.. il s’y est habitué. Charles n’a pas non plus de consommation de sel excessive… Il a surement assez de sel en lui, le sel étant conducteur. Roro pose la question sur le sel aux autres abductés dans la salle.. on a 2 contactés Fabrice et David qui consomment aussi beaucoup de sel. Peut être une explication : Charles respire l’air iodé, il vit au bord de la mer, même si non loin de la centrale nucléaire de Paluel!
Une question d’une participante concernant la grotte, les murs, la présence d’autres humains, de quelle planète viennent ces êtres, des informations importantes délivrées, sur l’éveil de conscience comme évoqué par les grand maitres de Yoga, etc.. Roro dit qu’il est guidé quelque part pour raconter, organiser son texte pour son histoire, etc.. on lui a appris à se mettre en contact avec l’ordre de l’univers.. Il visualise son image mentale de l’univers : un boule énorme qui comprend les galaxies et les planètes en phase de dilatation, et dans des milliards d’années se contractera pour dépérir, rien de sera détruit ni perdu, c’est comme un souffle, un source d’énergie, le point zéro.. Il a vu après l’article de l’astronaute Edgar Mitchell sur le point Zero.. La recherche de l’énergie du point zero peut se faire par des machines, elle est puisable partout dans l’univers, mais on peut y accéder par la pensée en se mettant dans un état mental adéquate.. On lui a demandé de le pratiquer à l’âge de la retraite et pas avant..
On parle nutrition juste avant d’aller dîner.. chaque pays correspond à un aliment principal culturel… depuis qu’il est rentré d’Inde, il ne boit plus une goutte d’eau pure seule… il la mélange à d’autres liquides… les aliments proscrits pour lui : les produits laitiers et fromages. Sinon ça lui fait éliminer trop vite le sel qu’il consomme.
Il a son explication pour ce phénomène la nuit : le symbiote lui fait consommer du sel, le phénomène la nuit de sifflement et paralysie est une transmission de données informatives peut être dirigé vers un vaisseau, le symbiote le bloque se met en route pour changer ou échanger l’information. Il n’a aucun souci de tension avec le sel, il est donneur de sang.. Son groupe sanguin est 0 Positif, à toutes fins utiles…. Il peut donner à tout le monde. On lui donne rendez-vous après le dîner.
Pendant le dîner, nous passons en fond video notre tour d’horizon des observations récentes dans le monde comme tous les mois.
Nous revenons après le dîner sur sa vie à la base, les aliments consommés sous forme de boules ou billes qu’il écrasait, ses « guides » mangeaient avec lui de temps en temps, il avait droit au café après, etc…leur goût variait, il n’avait pas faim entre les repas…. il était entouré de 3 « personnes » : la biologiste, le guide et l’ethnologue, avec qui il avait des discussions sur la futilité et l’arrivisme de nos politiques terriens.. Son guide lui avait dit à l’époque que tant que les terriens tourneraient autour de notre planète ça irait bien, mais si on avait l’esprit de conquête – exemple : la Lune, etc.. avec un gaz isotope très recherché – « on vous empêchera, vous n’irez pas ! » – donc Roro pensait bien à l’époque que la conquête de la Lune finirait en fiasco, ce qui confirme la thèse de nombreuses personnes en quête de vérité : la conquête de la Lune en 1969 « pourrait » n’être qu’une mise en scène Hollywoodienne destinée à donner l’avantage aux US pendant la guerre froide face aux Soviétiques… ils ont beaucoup de difficultés avec les militaires, le nucléaire pollue et est dangereux, ils seraient obligés de faire une action simultanée entre les US et la Russie pendant la guerre froide à l’époque pour montrer qu’ils étaient là et ne pourraient faire tout ce qu’ils veulent.
Pourquoi les autorités ne veulent pas qu’on divulgue leur existence ? Il y a un conflit d’intérêt entre certains extraterrestres et nos autorités et gouvernants terrestres…. Une explosion nucléaire trop importante casserait la barrière de plasma entre nos univers, des univers qui ne sont pas de même densité électromagnétique. Cela créerait des désordres, des orages et interférences entre nos 2 univers, c’est une des raisons, connues par nos gouvernants.. Le nucléaire mal utilisé est nocif pour nous et notre planète.
Roro ne sait pas s’il y a régulièrement des interventions extérieures de la part de ces êtres…mais les explosions nucléaires sont dangereuses pour les interférences entre nos univers.. Dans la recherche spatiale, on est sous surveillance… nos autorités ont compris pour la conquête lunaire, cela a bien embêté la NASA…il était en Inde la même année que le fameux « alunissage » d’Armstrong et ses acolytes de la mission Apollo, il l’a appris en rentrant plus tard chez lui…ils ne lui ont rien dit sur place en tous cas. Il pense qu’il faut une énorme quantité d’énergie pour alunir et redécoller de la Lune après avec notre technologie limitée de l’époque.. Peut être qu’on y est allé selon Roro, mais que des ETs les ont aidés à repartir pour leur dire de ne plus revenir, ou alors la NASA a utilisé une autre technologie.
Nous évoquons la « vision à distance » d’Ingo Swann, Roro n’aime pas ce terme il évoque le déplacement de l’esprit ou de la conscience dans l’environnement immédiat ou lointain, la séparation de conscience on voyage et on amène des souvenirs qu’on peut retranscrire. Il a lu son livre, et il pense qu’Ingo Swann – ancien employé de la CIA qui pratique la « vision à distance » ou de la clairvoyance – dit la vérité en parlant du soleil qui a 3 couronnes de couleurs différentes, Roro a vu la même chose. On se déplace sans son corps physique, séparation de la conscience pour l’amener à l’extérieur… C’est une faculté que tout le monde a, il suffit de la travailler… Roro est dans la recherche, le travail, ça va lui prendre du temps, ce temps n’est pas encore venu de maitriser cette technique.. Il peut sortir de son corps de temps en temps, c’est une question de densité, de pratique qui peut être délicate et dangereuse en fonction de la personne, c’est une question de souffle, de respiration, etc.
Question sur le contrôle de l’esprit à distance, Roro avait essayé en faisant tourner une dame autour de sa voiture.. c’est quelque chose qu’il ne faut pas faire, dit Roro. Il ne le refera pas, même si l’on peut faire beaucoup de choses avec l’esprit.
J’évoque la biologiste, pour que Roro nous explique ce qu’elle lui faisait tous les 2 jours : elle recueillait du « matériel biologique » avec une sorte de gobelet.. ils lui ont dit que les caractéristiques spéciales de son ADN serait utiliser pour repeupler d’autres planètes. Son rôle lui a été suggéré télépathiquement par ses hôtes, et il n’en sait pas plus. Il n’y a pas lieu d’extrapoler ni de moyens de vérifier ce qui lui a été dit de toutes façons.
Charles lui pose la question directement : la biologiste lui faisait des prélèvements de sperme par voir manuelle tous les 2 jours, il lui a proposé par voie naturelle mais elle a refusé, à quoi pouvait servir ces prélèvements ? Roro y a répondu déjà, on lui a dit qu’ils serviraient à la reproduction sur d’autres planètes en évolution.
Autre question : y avait-t-il d’autres humains à la base ? Roro n’en a pas vu, il a vu des entités travailler, mais des semblables à nous non. Leur apparence : environ 2 mètres, les doigts et les bras un peu plus longs, les yeux un peu bridés, de taille très fine… L’âge qu’ils pouvaient avoir : entre 30 et 40 ans selon Roro… Il n’osait pas assez leur poser de questions à l’époque…. Dû à son éducation surement, il regrette maintenant.. Il n’est plus en communication avec eux de cette manière aujourd’hui. A l’époque il pense qu’il y avait liaison d’infos entre son symbiote et eux. Il ne voit plus d’OVNIs, plus de boules lumineuses, pas vraiment a-t-il dit. Sa dernière communication date de depuis qu’il est parti à la retraite. Des fois il regarde le ciel, il a vu des boules traverser le ciel allant vers Rodez, etc… ça ne l’intéresse plus outre mesure, ce qui l’intéresse c’est en tant qu’humain d’acquérir, d’emprunter des chemins différents, d’aller dans des zones où nous n’allons pas, où eux fonctionnent et nous non…
Il répond ensuite avec une grande émotion à une question concernant sa fille autiste qui souffrait à l’époque et a reçu la visite de boule lumineuse… il a fait appel (et son épouse de son coté aussi) à ces êtres et il a vu de la chambre de sa fille une trainée de vapeur lumineuse blanche sous la porte… il s’est rendormi et une fois réveillé le lendemain, sa fille leur a parlé, elle était décontracté, elle va mieux, même autiste. Sa fille a même dit « je suis sortie en avion cette nuit » sans qu’ils lui demandent quoique ce soit, en plus elle cause très peu d’habitude… Elle n’a pas été guérie, mais son comportement s’est amélioré !
Ensuite nous l’amenons à nous parler de cette fameuse réunion où même ses hôtes étaient divisés quant à l’accepter.. une grande salle ovale. Il y avait du monde, et une grosse boule de lumière à 1 ou 2 mètres au dessus de la table, des gens etc… il a même vu autour d’une planète tourner 3 soleils.. il a vu toutes sortes de personnes… ; différentes morphologies et couleurs de peau etc… Des fois des grand silences, d’autres des message télépathiques, la biologiste lui répétait que l’univers était fantastique.. A la fin, la boule s’est estompée.. il est revenu dans sa chambre.
Fédération Galactique : on lui a dit qu’ils appartenaient, ces planètes avancées à une fédération et travaillaient ensemble. Malgré leur avancement, qu’il y avait pleins d’autres planètes bien plus avancées qu’eux. Question sur notre niveau sur Terre : on est à un niveau très bas pour l’instant, maladie, famine, guerres, etc..
Quel type de gouvernement faudrait-il ? Chez eux la dualité, la démocratie ne marche pas… Chez eux, leur niveau mental leur permet de trouver des solutions, et de les appliquer. Les déviances n’étaient pas permises… Exemples de déviances : alimentaire, production, monoculture chez nous qui nous fait souffrir. On est malhonnête, on a une partie cachée.. Chez eux on ne peut pas cacher notre esprit ils lisent les pensées.
Combien de temps pour une espèce pour évoluer chez eux ? très longtemps, on passe de l’état de matière à énergie, on va renaitre, la mort n’existe pas..Quand le physique ne fonctionne plus, on évolue dans le monde de l’énergie.. le corps physique n’est qu’un container, ce n’est pas l’être réel. Un exemple avec la pensée : la pensée ne vieillit pas elle reste la même, c’est le corps physique autour qui vieillit !
Que pense-t-il de notre période actuelle ? Nous sommes dans un tournant d’évolution, la planète aussi. On va vers le positif selon Roro. Selon ce qu’il a appris, c’est que la vie, l’être humain, la vie végétale et autres c’est magnifique, chaque humain, animal, végétal a sa valeur, il représente une partie de l’énergie grandiose de la création et de l’univers.
Question sur la durée de vie de ces êtres : 400 ans selon notre référence Terrestre. Nous n’avons pas de containers de régénération, contrairement à eux.
Question sur le rôle des contactés : c’est pour faire passer un message de paix et d’amour, qu’on est pas seuls dans l’univers.. trouver des solutions. Il ne se considère pas comme un grand messager, chacun doit délivrer son message, ça correspond à une pièce du puzzle à délivrer, le jour où on pourra tous les rassembler on aura des réponses. C’est à nous de trouver des solutions à nos problèmes, c’est simple.
Question sur la divulgation de l’existence E.T. et les gouvernements : pour cacher la grande vérité qu’ils connaissent, conflit d’intérêt entre nos dirigeants terrestres et des races extra-terrestres, pour garder des monopoles, la mainmise sur l’énergie atomique et autres, le militaire, etc..
Question sur l’énergie : inépuisable partout dans l’espace ? Le danger sur Terre, comme tout est basé sur le profit et l’argent, si on utilise un petit boitier qui produit de l’énergie inépuisable pendant des années et qui ne coute rien, on pourra licencier tous les employés d’EDF, etc.. c’est une question économique, et c’est pour ça que la transition ne se fait pas soudainement. C’est un chantage économique, et c’est notre mode de fonctionnement.
Autre question : est-ce que l’on a les dirigeants que l’on mérite ? Dans un sens oui, peut être, il ne veut pas se prononcer.. même s’il déclare qu’une prise de conscience se fait progressivement. Les politiques doivent faire plus attention, on est à un tournant. Les budgets se restreignent un tas de choses évoluent.
Question sur la spiritualité : le bon esprit c’est l’ordre de l’univers, c’est la conscience, à des étages différents à des niveaux plus ou moins élevés, des palettes très larges sur l’échelle de l’évolution humaine, chacun choisit sa pente s’il veut évoluer vite ou moins vite, selon son chemin ardu ou pas…
Question sur son histoire relatée en bande dessinée dans les années 60 ou 80 sur les boules de l’Aveyron dans LDLN, la revue Lumières dans la Nuit. Comment y est-elle arrivée s’il devait garder le silence pendant 40 ans ? Selon Roro, il a eu pendant cette période des temps manquants, il faudrait demander à Franck Marie ce qui s’est passé, soit son père a envoyé l’histoire à LDLN, mais il n’as pas la réponse.
Questions sur les expériences psychiques de projections mentales de l’armée et autres entités en rapport à son expérience qui peuvent induire des mémoires modifiées et fausses dans son esprit : il y a pensé, il ne sait pas exactement, c’est possible dans certains cas, mais il est parti volontairement, il était bien conscient de tout. L’aspect au niveau travail et réalisation personnelle semble avoir bien fonctionné.
On parle de son retour après 11 mois à la base : il a laissé tomber la ferme, il a travaillé dans le privé quelques années, et quand l’opportunité s’est présentée à l’hôpital de Rodez, a étudié et est devenu aide-soignant car l’humain l’intéresse. Quand il a quitté la base, le guide lui a donné une petite enveloppe jaune avec 27000 francs en billets de 100 francs. A l’époque ça lui a permis d’acheter une voiture 10000 Frs cash et de se réadapter à la vie, remettre le pied à l’étrier.
Depuis qu’il est revenu, il n’y a pas eu d’autres contacts. Il ne s’est pas trop intéressé à l’ufologie, si dans les années 80 quand il y a eu des observations dans sa région pas loin de chez lui. Il a laissé tomber, et quand il y est revenu il s’est senti obligé d’y revenir délivrer un message en 2003 /2005, il a rencontré Georges Metz, Venturini, etc.. Il n’a participé avant celui-ci qu’à un seul Repas Ufologique à Toulouse, et aux rencontres de Chalon en Champagne.
Pourquoi appeler son implant un symbiote ? C’est un tissu vivant, invisible à la radio, ça fait partie de son corps.
Il a eu la visite de 2 scientifiques de la physique moléculaire récemment chez lui, mais il ne veut pas en dire plus à ce sujet. Je le relance sur le sujet concernant l’ouverture la barrière de plasma entre 2 espaces au moment de son départ dans le ciel vers la base, avec un différentiel électromagnétique spécifique.
Nous revenons sur son retour, il a dit à sa famille qu’il avait passé une année sabbatique à Paris, à cette époque on ne posait pas tant de questions.
Il est temps de se quitter, Roro nous remercie et nous le remercions sous les applaudissements, son mot de la fin : la vie est un message d’espoir, il n’y aura pas de fin en 2012, Bugarach est un canular, la vie vaut le coup d’être vécue et de chercher à avancer, à évoluer, parce que plus on évolue plus on est libre !
Un grand merci à Robert et Nicolas. Leurs témoignages nous ont semblé des plus sincères et Roro malgré ses nombreux détracteurs dans la communauté ufologique a su nous captiver et nous émouvoir, ainsi que nous remuer dans nos convictions profondes. Il s’est rendu très disponible et ouvert à toutes les interrogations, en admettant les points sur lesquels il pouvait être indécis ou ne pas pouvoir répondre, ou même se remettre en question. C’est tout à son honneur. Son expérience est unique en son genre, pourtant nous avons l’habitude des contactés et abductés à mes repas !
On conclue avec la minute d’humour, et aussi un petit reportage sur l’existence d’une base E.T. au Ladakh confirmée par les observations même récentes et les gouvernements Chinois et Indiens, là où Roro a dit avoir été emmené en 1969. C’est un point de croisement d’énergies telluriques sur le globe. Je distribue quelques CD en rapport avec le thème du repas aux passionnés du sujet. Nous nous donnons rendez-vous à la prochaine réunion en 2013.
Témoignage concordant dans les années 60 dans la même région, transmis par Guy, un ami de Nicolas I. ; Suite aux boules de l‘Aveyron :
FIN
Localisation de Roumagnac, Aveyron, France : c'est près de cette ferme où résidait la famille de Robert L., où dans les années 1966 à 1969 lui-même et sa famille avaient pu voir des boules lumineuses près du sol, ou même se promenant au sol et suivant des fois des membres de la famille ! Un jour il y a eu comme un ovni cigare à la verticale, sur le sol, comme une fusée, avec des boules lumineuses autour ! : cette affaire de boules au sol, nous a rappelé la série télévisée "Le Prisonnier" ! : en fait c'était des extraterrestres qui étaient la cause de tout celà, et en 1969 ils emmèneront en ovni Robert L., qui séjournera dans leur Base dans l'Himalaya pendant un an... :
http://www.forum-ovni-ufologie.com/t9675-une-hantise-de-boule-lumineuses-par-fernand-lagarde
"Une hantise
de boules lumineuses
L'ceil était dans la tombe et regardait Caïn.
Victor Hugo
Parmi les apparitions de forme géométrique et abstraite, la sphère luminescente est la plus fréquente. S'agit-il simplement de «foudre globulaire », comme certains l'ont suggéré? L'analogie est en effet pour le moins troublante, quand on passe en revue les caractéristiques de ces éclairs en boule. Si leur configuration est généralement sphérique, on trouve également des aspects ovoïdes, plats et même filamenteux — qui peuvent passer d'une forme à l'autre, sous les yeux d'un même témoin —. Les bords en sont nets ou flous; leur couleur est très variable et souvent pulsante, tout comme la vitesse de leurs déplacements. Enfin, parfois, ces,foudres globulaires soulèvent des objets (même volumineux ou pesants) et paraissent traverser des parois solides.
Quoique nous ayons fondé notre définition des apparitions psi sur leur Intentionnalité, la limite entre paranormal et physique est dans certains cas bien imprécise : ainsi, des fantômes d'allure humaine peuvent présenter un comportement de simple automate et, inversement, des foudres globulaires typiques semblent agir parfois de manière intelligente.
Le cas célèbre que nous présentons ici est le fruit d'une enquête menée par LDLN 1, l'un des grands groupes français d'études sur les UFO, considérés par celui-ci comme des sondes spatiales d'origine extra-terrestre. Dans le compte rendu de cette hantise de boules lumineuses (qui dura plusieurs années), il est question à un certain moment d'un « obus aérien », appelé encore « cigare des nuées » par les ufologues, qui le considèrent comme un vaisseau-mère pondant de temps à autre une soucoupe volante; il s'agit là encore d'une caractéristique connue de la foudre globulaire.
I. Lumières dans la nuit (NdE).
En novembre 1969, nous recevions une longue lettre où était fait le récit de faits assez extraordinaires. Nous chargions un de nos enquêteurs, le Dr Dupin de la Guérivière, d'aller sur place enquêter. Il nous a fait parvenir son rapport, de nombreuses photos, la carte d'état-major, des renseignements complémentaires.
A l'étude, il s'avéra que si le récit originel paraissait exact quand au fond, il présentait des lacunes que le rapport n'avait pas éclairées. Un complément d'enquête s'imposait que notre enquêteur, très occupé, ne pouvait faire.
Nous avions saisi notre conseiller, M.A. Michel, de ces faits inhabituels. Il les a jugés très importants, s'ils étaient authentiques, et nous a demandé de les suivre.
Devant le dilemme qui se posait à nous, nous avons décidé de nous y rendre en personne et pour mieux réaliser nos desseins nous avons demandé à deux autres enquêteurs de se joindre à nous. L'enquête que vous allez lire n'est donc pas unilatérale, mais une enquête commune où chacun a posé ses propres questions, fait ses propres déductions et approuvé les termes de ce récit. Elle résulte de l'ensemble des observa¬tions, des croquis relevés sur place, de documents relevés à la mairie, de photos et surtout, ce qui en constitue l'ossature, des interrogatoires relevés sur bandes magnétiques, d'une durée totale de une heure quarante-cinq'.
Nous nous efforcerons d'ailleurs de coller au plus près du dialogue pour essayer de reconstituer la couleur locale, et de lui laisser tout son naturel.
Comme le souhaitait A. Michel des consignes ont été laissées sur place aux témoins, et aux deux enquêteurs régionaux qui nous accompagnaient. A la demande expresse des intéressés leur anonymat sera res¬pecté. A notre grand regret aucun nom de lieux qui puisse les identifier ne sera indiqué : les témoins désirent vivre en paix. Nos lecteurs nous en excuseront, d'ailleurs l'enquête continue sur place par la recherche d'autres témoignages venant étayer ces récits.
1. Enquête effectuée par G. Canourgues, J. Chasseigne, F. Dupin de la Guérivière et F. Lagarde.
Une ferme dans l'Aveyron
Les faits se passent quelque part en Aveyron aux abords d'une de ces fermes comme il y en a tant. Celle-ci est ancienne, bâtie en 1766, les murs en dur sont épais, elle possède un étage où se trouvent les chambres et d'où la vue est très étendue. Les pièces sont vastes, il y en a dix. Les fenêtres donnent au sud surtout, d'autres, plus étroites, à l'ouest et au nord.
Au sud de l'habitation principale une cour encadrée sur trois côtés des dépendances (grange et étable). A l'est une entrée principale qui donne sur la route, à l'ouest, un accès secondaire donnant sur la route aussi par un chemin charretier.
L'exploitation est modeste, dix-huit hectares, fondée sur l'élevage, surtout des vaches pour la vente des veaux; polyculture, des prairies, du maïs, du blé, de l'avoine, de l'orge, une pièce de vigne pour le vin de consommation familiale.
Bref une ferme comme il y en a tant dans la région Midi-Pyrénées.
Les faits dont ont été témoins les membres de cette famille de terriens qui, comme nous écrivait M. Delphieux, savent regarder et ignorent la peur, vont se succéder si nombreux qu'ils sont à l'origine d'un imbroglio qui nous a tous déconcertés quant à la chronologie des événements, y compris les témoins eux-mêmes, qui avaient un certain mal à en rétablir la succession, ne les ayant pas notés ni datés.
Entretien avec la grand-mère
Nous sommes le 15 juin 1966, vers 21 h 30.
C'est l'aïeule, qui avait 76 ans à l'époque, et adore ses petits-enfants, qui depuis la fenêtre de sa chambre, à l'étage, a été la première à donner l'alerte. Elle raconte ses impressions avec vivacité, une grande facilité d'élocution, dans un français de nos campagnes, où perce souvent le patois du pays dans l'émotion du récit de l'événement qu'elle revit pour nous.
Dans le souci de faire participer le lecteur, autant que faire se peut, à cet interrogatoire, nous conservons les réponses dans toute leur fraîcheur, patois excepté.
- Grand-mère, racontez-nous ce que vous avez vu ce soir-là...
- J'étais à la fenêtre... un petit moment... parce que des fois, quand on est âgé on va respirer l'air, ou n'importe, mais jamais je n'avais vu des lumières comme ça! des choses comme ça! Ça n'éclairait pas... c'étaient des feux! des feux! des feux!
- Vous en voyiez plusieurs à ce moment-là?
- A ce moment-là... hé bien... c'était un peu grand comme trois têtes d'homme.
- Vous en avez vu trois? (Un autre demande : Mais c'était loin à ce moment-là?)
- Eh oui! ils étaient du côté de X... à ce moment-là (X... sur la carte est à 1 kilomètre; au début ils étaient plus loin, à 1200 mètres puis ils se sont rapprochés, sous X..., à Y... qui est à 800 mètres. X... est plein ouest par rapport à la ferme, sur une colline voisine). Puis vers Y... je me disais maintenant.., voilà qu'y aurait le feu à Y... qui sait? Ça se détachait... on ne perdait pas de vue.., on ne voyait rien qui se déplace, mais ça on voyait la lueur, et enfin cela après s'est rapproché un peu plus... dans le petit ruisseau... (Les boules descendaient. Distance vérifiée sur la carte : 600 mètres).
« Mais alors là... j'ai dit... on ne voira rien plus... Tout d'un moment ça a monté un peu plus haut... là... côté A que tu as dis (en s'adressant à son gendre). Après nous disions où cela va aller? ... vers B?... je les connaissais, ces gens, moi! Après, tout d'un coup, ça a rapproché ici dans le (...). C'est alors que j'ai dit : mais qu'est-ce que ces feux? Il ne tonne pas, il ne fait pas orage, qu'est-ce qu'il y a? Alors j'ai appelé. Tous ces feux... je suis trop vieille, je ne veux pas voir des choses, comme ça! Si ça doit continuer à se déplacer comme ça, qu'est-ce que nous allons devenir enfin?.., après ça se déplace... ça va au coin de la vigne, là... vous savez bien quand je vous ai appelé (en se tournant vers son gendre)... c'est alors que je suis été saisie de peur (les boules étaient à 90 mètres)... mais si cela monte davantage, ça ira dans la grange, tout va brûler, la maison et nous avec.., et je l'ai appelé.., je l'ai appelé. »
Que l'on se mette à la place du témoin dans une campagne paisible, en pleine nature. Il fait nuit, en face d'elle une colline à 1 km 200 environ, qui culmine à 450 mètres d'altitude, rien ne la sépare de sa vision, seulement des champs, des pièces de terres, un vallon où coule un ruisseau, 130 mètres plus bas. De ce ruisseau la pente remonte vers sa ferme qui culmine sur le dos d'une autre colline, à 400 mètres d'altitude aussi.
Dans l'obscurité d'un paysage qu'elle connaît depuis trente ans pour le voir chaque jour, elle aperçoit ce qu'elle appelle des « feux ». Ceux ci disparaissent, réapparaissent, elle suit leur progression, toujours plus près. Ils descendent le vallon, remontent la pente, se rapprochant inexorablement de la ferme, et les voilà bientôt qui semblent la menacer. Elle n'a pas conscience d'un phénomène inconnu et elle essaye de trouver une explication : il n'y a pas d'orage, dit-elle. Elle n'a pas peur d'un surnaturel, d'un irrationnel, comment pourrait-elle y songer? Mais c'est la hantise du feu qui dans les campagnes fait peur à tous, alors désorientée, apeurée, elle appelle son gendre au secours et plus tard elle nous dira qu'elle s'est couchée tout habillée dans la crainte des suites possibles. Il y a là un récit criant de vérité.
Non moins remarquable la marche de ces "boules" lumineuses venues d'aussi loin au travers d'obstacles, haies, bois, champs pour se diriger vers cette ferme dans un but qu'on n'explique pas. Comment leur dénier une volonté, une sorte d'instinct, une intelligence enfin. Nous verrons plus tard à quoi elles ressemblent, elles sont immatérielles, lumineuses sans plus, ni engin, ni plasma, une sorte de feu follet, au comportement irrationnel et volontaire.
Les observations du père
C'est le récit du gendre, le père de famille, l'exploitant, qui va suivre maintenant et qui, lui aussi, va revivre pour nous cette soirée mémorable.
— Alors on vous appelle, vous êtes dans la chambre voisine, au premier étage, dites-nous ce que vous avez vu, ce qui s'est passé.
-- Oui... j'ai été à la fenêtre, je n'ai rien vu sur le moment... je n'ai rien vu... je n'ai rien vu... J'ai attendu deux ou trois minutes.., puis j'ai vu une boule, là... à 15 mètres de la maison! J'ai dit, tè elle avait raison ma mère... je veux dire ma belle-mère... elle avait raison... elle avait rai son...
- Elle était près de la maison, près du mur?
- Oui, à 15 mètres.
- Que faisait-elle là?
- Hé bien... je ne sais pas... à ce moment elle était immobile... elle est restée là deux ou trois minutes.., à peu près... puis plus rien.., tac comme on tourne un bouton... je ne vois plus rien.
- Elles réapparaissaient plus loin?
- Hé bien oui... à 1 kilomètre... à 500 mètres... ça dépendait... Ça on voyait, puis... tac... tac...
- Et entre l'extinction et le nouveau point il se passait longtemps? - Oh non! quelques secondes... deux ou trois secondes, pas plus. - Elle avait une forme ronde avez-vous dit?
- Oui, ronde... oui... plus bombée en haut qu'en bas... le bas était plus aplati. Le dessus était plus rond que sur votre dessin. (Nous avons rectifié le dessin sur ses indications.)
- Vous êtes sorti à ce moment-là?
- Alors je suis sorti... je suis allé voir... Là (il nous conduira plus tard à l'emplacement qu'il occupait dans sa vigne au moment de son observation; emplacement situé à 50 mètres à l'ouest de la ferme).
- Que s'est-il passé?
- J'ai regardé là pendant un moment... un moment... elles tournaient... il y en avait six alors à ce moment-là.
- Vous dites qu'il y avait six boules?
- Oui... à 1 kilomètre... 1 kilomètre 200 environ.., elles tournaient dans un champ... enfin dans un carré de terre quoi... je ne sais comment vous dire... dans un champ, dans un champ. »
(A. M. Chasseigne, qui pose une question plus précise, il situera l'endroit par des repères précis à flanc de coteau : un arbre isolé lointain et la pièce de terre qui paraît être une pâture depuis le point où nous nous trouvons.)
- Elles tournaient à distance... comment vous dire d'ici... je pouvais pas remarquer... à 50 mètres l'une de l'autre peut-être... même peut-être pas... je sais pas et je les voyais se déplacer.
(Son fils nous avait précisé à 10 mètres l'une de l'autre, dans une lettre. Il intervient dans l'interrogatoire, mais son père ne le suit pas pour cette précision; en fait elles lui ont paru plus éloignées que 10 mètres et moins que 50 mètres.)
Six boules de concert
- Tout d'un coup... ah! elles se déplaçaient au pas de l'homme...
comme un tracteur quoi... quand je dis un tracteur je veux dire... en première.
- L'une derrière l'autre?
- Oui... l'une derrière l'autre...
- Six boules l'une derrière l'autre?
- Oui... l'une derrière l'autre... elles ont contourné là.
- En ligne?
- Oui... en ligne.., l'une derrière l'autre... l'une derrière l'autre. - Elles restaient allumées en se déplaçant là?
- Oui... oui.
- Ou bien en s'éteignant et en se rallumant?
- Non... elles ont contourné là, toutes lumineuses, quoi. - Elles restaient lumineuses en se déplaçant?
- En se déplaçant, oui... elles restaient lumineuses en se déplaçant. Je dis c'est un tracteur... un tracteur... mais il n'y avait pas de bruit... Je l'aurait entendu, parce que la nuit on entend un moteur de loin.., mais je n'ai rien entendu. C'est pas un tracteur... c'est drôle... il n'y en aurait pas tant quand même... tant de lumières! Alors elles ont tourné là pendant... je sais pas... demi-heure... tant de lumières!... je n'ai pas pu comprendre ce que c'était... Puis à un moment donné... ça s'est accroché... ça disparaissait... (son fils lui souffle le mot) à l'obus.
-Vous n'aviez pas vu « l'obus » encore?
-Ah si! ah si! si, si, je l'avais déjà vu!
-Mais à quel moment? (nous le savions, mais nous n'avions pas voulu interrompre le fil du récit et détourner l'intérêt).
- Mais juste en sortant.
- Toujours dans cette même direction?
-Oui... là-bas.
-Et quelle allure cela avait-il?
-Mais c'était lumineux.., c'était lumineux.., j'ai cru que c'était un arbre qui brûlait moi... mais je ne voyais ni flamme... ni fumée, ni flamme.
-C'était blanc?
-C'était lumineux quoi.
-De la même couleur que les boules?
Oui, de la même couleur que les boules... pareil... de la même cou leur.
- Et les boules sont allées rejoindre le...
-Oui... ce «machin» là.
Tout paraissait être rentré dans l'ordre... à peu près... les « boules » ayant été absorbées par le... « machin ». Le témoin, intrigué, mais las d'observer, rassuré pour l'incendie, étonné du spectacle auquel il venait d'assister, est rentré dans la ferme pour aller se coucher.
« Comme dans un rêve »...
Tout comme l'aïeule, le témoin revit intensément ce qu'il a vu et nous y fait participer.
N'oublions pas que nous sommes le 15 juin. La campagne est verdoyante, la végétation est gonflée de sève, les champs, les prés constituent les neuf dixièmes du paysage : un incendie est improbable. Notre témoin, même s'il ne s'exprime pas explicitement, n'y croit pas. Il est tout étonné de voir ces boules lumineuses, le fait inexplicable s'énonce par cette constatation trois fois répétée : elle avait raison! il ne comprend pas ce qu'il voit.
La « boule » s'éloigne et, plus intrigué qu'appeuré, il aperçoit au loin ce qu'il prend encore pour un arbre enflammé. L'image subjective, raisonnable, qu'il s'en fait ne correspond pas à ce qu'il voit : il n'y a ni flamme, ni fumée! Ce n'est donc pas un arbre qui brûle, il l'appellera le machin », il ne lui vient pas à l'idée que ce puisse être un engin, comment pourrait-il y penser?
C'est alors qu'il aperçoit la procession des six boules lumineuses. Leur alignement, la régularité de leur marche lui font penser à des tracteurs, oubliant un instant les boules qu'il voyait de sa fenêtre. Il se rend compte que là aussi sa comparaison est en défaut, et puis « ça s'accroche au machin ». Nous verrons dans une autre séquence ce que signifiaient exactement ces termes de « s'accrocher ».
Tout est déconcertant, tout est irrationnel : ces boules qui viennent près la ferme, qui s'éteignent (tac), se rallument, « le machin », la ronde des boules, tout cela dans le calme de la nuit, sans bruit, irréel, comme dans un rêve.
Que pouvait-il penser? « Je n'ai pas pu comprendre ce que c'était », dira-t-il.
Après ces témoignages, une discussion générale s'établit sur la chronologie des faits qui vont suivre, et ceci dans la plus extrême confusion. Nous apprenons ainsi que beaucoup d'autres manifestations ont eu lieu à des dates imprécises. M. Chasseigne essaye de les fixer sur le papier, c'est impossible. Le fils résume la situation : « Il y en a tant eu après! ».
Nous établirons cependant qu'il ne s'est rien passé jusqu'au 6 janvier 1967. A partir de cette date, jusqu'au mercredi 11 janvier 1967, toute une série de faits remarquables et précis ont eu lieu.
Jusqu'en 1969, des faits plus vagues, non datés, se sont encore produits. MM. Chasseigne et Canourgues s'emploient à trouver des témoignages extérieurs qui aideront sans doute à cerner ces manifestations.
Après le récit de la soirée du 15 juin 1966 nous en étions restés dans la discussion générale des événements qui ont suivi, dans un imbrogliomonstre sur leur chronologie. M. Chasseigne qui, sur place, suit les événements, nous écrit le 22 mai I97O : « Je suis sûr qu'il y a une foule de faits dont nous n'avons pas eu connaissance, et qui apparaissent comme des flashes dans la conversation. Ainsi, le père avait déjà vu une boule bien avant le 15 juin, et l'aïeule en a vu après ».
Il apparaît ainsi que deux jours n'auront pas suffi pour tout apprendre. Ce sera une leçon pour des enquêtes, après la prise de contact où les témoins « vident leur sac » il semble nécessaire d'y revenir pour recueillir les laits qu'ils ont oubliés, peut-être parce qu'ils leur paraissent mineurs, alors que dans le contexte ils prennent un tout autre relief.
Les souvenirs de la mère
Nous demandons à la mère de famille qui, jusqu'ici n'avait rien dit, si elle avait vu quelque chose :
-Oh si! j'ai vu ces lumières, mais je ne me rappelle plus, et puis je suis myope.
Le père : - Elle ne s'y intéresse pas.
L'aïeule: - Il n'y a qu'un soir où tu as dit qu'il y avait le l'eu à la fourragère.
Le père: - Plus de quinze fois elles sont venues.., et une seule s'est approchée deux fois.
-Elle se détachait des autres?
-... Alors une boule se détachait des autres... deux secondes... puis elle repartait. Elles sont venues quinze fois peut-être, mais pas à côté de la maison. Elles sont venues deux fois à côté de la maison... Elle se déplaçait puis elle revenait.
-Elle disparaissait puis elle revenait? Comment faisait-elle? --Elle se déplaçait d'environ 15 mètres... Je vous montrerai. --Elle éclairait, puis s'éteignait?
-C'est-à-dire qu'elle était éteinte, on ne la voyait plus. -Elle reculait?
-Elle se déplaçait... on la voyait approcher... puis je ne sais pas si elle tournait (il s'agit du tour du bâtiment)... on ne la voyait plus... elle reculait.., enfin elle partait à reculons.., je ne voyais pas ça moi... on ne le voyait pas... elle se déplaçait au pas d'un homme à peu près. Elle se déplaçait à côté de la maison.
- Et une quinzaine de fois cela s'est passé?
- Oui, oui... deux fois elle est venue à côté de la maison... deux fois. — Elle vous a barré le chemin un moment donné?
- Eh oui! elle m'a barré tout le chemin là tout à côté.
L'aïeule : - Moi je me suis allée coucher. Je me suis dit que je vais crier que les voisins seraient sortis, et je suis allée au lit.
Le père : - Les voisins étaient à la fête le dimanche.
L'aïeule : - Lui a continué de regarder là, mais moi je suis allée au lit. Je me suis pas déshabillée. Je suis restée au lit...
Le poursuivant poursuivi
Nous nous adressons au père:
- Vous les avez revues après, avant le mois de janvier 1967? Comment ça c'est passé cette fois?
- Ah! j'ai vu une boule dans le ciel.
- Une boule? dans le ciel?
- Oui! tout là-bas.
L'aïeule : - Cette lueur que vous aviez dit que vous aviez vue que ça éclairait tout le champ?
Le fils: - Mais ce n'était pas ce jour-là!
Le père: - Oui, ce n'était pas ce jour-là.
Le fils: - Il n'y a pas si longtemps que ça. Cela fait cinq ou six mois. Le père: - Oui.
- En 1969, l'année dernière?
- Oui, l'année dernière.
- Mais nous n'en sommes pas là encore nous sommes le vendredi 6 janvier 1967 quand vous avez appelé votre fils qui était couché. Que s'est-il passé ce jour-là?
Le père : - Ah! moi je suis sorti, je suis sorti dehors à l'écurie.., pour voir le bétail, quoi! Alors j'ai vu cette lumière là... à 50 mètres même pas... à 3 mètres de la maison. Je me suis dit qu'est-ce que c'est?... Qu'est-ce que c'est que ça? Vite je suis venu chercher une lampe de poche, et je dis... tu vas passer par derrière pour voir ce que c'est... oui!... ah! quand je suis passé par derrière ça m'a suivi... Ça m'a suivi tout le long de la route...
- Le plan reconstitue la chronologie des événements que nous avons vérifiés sur les lieux.
- « Ça » m'a suivi sur 60 mètres environ... à peu près... et alors il y avait un passage où je voulais aller passer moi... pour passer par derrière. Alors ça me suivait tout le long, tout le long, tout le long.., moi je me suis arrêté là où je voulais passer par derrière et le « machin » s'est arrêté là... sur le passage... Je dis... maintenant.., ce n'est pas la peine d'insister.., je peux pas passer.
- C'était gros à ce moment-là?
- Oh oui!... environ, 1 m 50 de diamètre.
- De la même couleur blanche?
- Oui, de la même couleur... oui.
- Ça n'éclairait pas le sol?
- Non, non, non... non, non... c'était lumineux.., lumineux mais ça n'éclairait rien du tout.
- Est-ce que vous avez senti si ça dégageait de la chaleur?
- Oh non! non, non, non. Je n'ai rien senti.
Le fils: - Celle que j'ai vu moi ne faisait pas 1 m 50... 1 m 20 au maximum!
Le père: - Alors je suis revenu, et la boule est repartie en arrière jusqu'à la maison, comme la première fois.
Nous nous adressons au fils: - Alors il vous a appelé à ce moment là et vous vous êtes levé?
- Oui, quand il est revenu, il m'a appelé mais moi je n'ai rien vu à cc moment-là.
Le père : - « Ça » avait disparu!... moi je suis resté encore... ça est revenu.., ça est revenu après!
Alors, un peu moqueur, au fils : - C'est vous qui l'avez fait partir? (on rit).
Le fils: - Quand j'ai regardé, moi je n'ai rien vu sur le coup.
Le père: - Oui... mais il est reparti... il n'est pas resté... moi je suis resté... je lui ai dit « ça » est revenu!
Le fils: - Mais je l'ai vue quelques minutes après... j'en ai vu une qui... enfin.., de l'autre côté là-bas de la fenêtre. Elle était partie sur un petit chemin là qui monte... et j'ai dit tiens cette fois il y a quelque chose.
- Alors vous êtes redescendu?
- Alors là, je suis descendu.
- Vous êtes redescendu, parce que vous étiez déjà descendu une fois et comme vous n'aviez rien vu vous étiez remonté?
- Oui, oui.
Description de l'«obus»
- Alors c'est cette fois que vous avez aperçu tous les deux ce fameux « obus »?
- Oh! oui, oui!
- Tous les deux?
- Oui, oui!
L'aïeule : - Ils sont venus m'appeler pardi,... mais...
- Alors?
- Oh! non, non, je n'y suis pas allée non... ma fille pleurait (il s'agit de la mère de famille). Je lui ai dit : « Innocente! », et alors je... j'ai... je... suis descendue quand même, et puis j'ai vu ce feu, le feu (patois intraduisible dans l'émotion qu'elle revit, on la voit bouleversée au souvenir de sa vision). C'est vrai quand même (dit-elle), on n'a pas l'habitude de voir des feux comme ça, quand même!
Alors nous adressant au père et au fils:
- Qu'est-ce que vous avez vu tous les deux? Qu'est-ce qu'il y avait à ce moment-là?
Le fils: - Moi j'ai vu les six boules.
- Que s'est-il passé?
Le père: - Ah oui! mais ça!... moi je ne suis pas resté... Je suis rentré me coucher.
- Vous avez vu « l'obus » mais vous n'avez pas continué à regarder? vous êtes rentré vous coucher?
Le père: - Non, non... je n'ai pas continué la séance... (en riant), ah, ah, ah!
- Qu'est-ce que cela vous faisait? Vous avez eu peur?
- Oh... j'ai eu l'impression que... heu... heu...
- Quelle est l'impression que cela vous faisait?
Le fils: - Il voulait lui lancer une pierre là, quand il était près (de la boule), il n'a pas osé.
Le père : - Non... oh! .j'avais bien envie de faire quelque chose, mais...
- Vous avez eu un peu peur quoi, dans le fond?
- Eh oui! sans doute... quand j'ai vu que cela me suivait...
- Vous n'aviez pas votre lampe électrique à ce moment-là? - Eh! je l'avais à la poche?... mais...
- L'avez-vous allumée?
- Oh non! non, non, non, je l'avais à la poche... je ne m'en suis pas servi.., je voulais passer par derrière pour aller voir ce que c'était, et j'ai pas pu passer... j'ai abandonné.
Au fils:- Alors vous, qu'est-ce que vous avez vu à ce moment?
-Alors moi j'ai vu « l'obus » avec les trois branches de chaque côté.
- Il y avait des branches?
- Oui... elles étaient droites... exactement comme celles du dessin. (Il s'agit du montage sur photo de M. J.-L. Boncœur, exécuté d'après les premiers témoignages.)
- Et les « boules »?
- Trois branches de chaque côté et à un moment donné une houle sur chaque branche... trois boules de chaque côté, cela faisait six boules...
« Il y avait un phare, en haut, tout à fait au bout et il éclairait la fenê tre là-haut, il éclairait toute la chambre... j'avais la fenêtre ouverte là en face.
- C'était un rayon diffus ou bien très étroit?
- Oh, étroit! très étroit.
- Et ça éclairait votre chambre?
- Oh oui! je pense bien, j'y voyais comme en plein jour là.
- Mais alors vous étiez remonté dans votre chambre quand vous l'avez vu?
- Oui, j'étais remonté dans ma chambre... après.
- Et « l'obus » était toujours là?
- Je ne l'ai pas vu repartir ce jour-là.
- Et il éclairait votre chambre?
- Oui, il éclairait la chambre.. ah! par intermittence quand même!... il tournait.., il tournait.
- il tournait.., comme un phare?
- Oui... des fois il éclairait la chambre voisine là-bas... il tournait... mais là c'était déjà 11 heures du soir, 11 heures et quart par là, quelque chose comme ça.
- Ce n'est pas drôle?
Le père: - Eh non! on se demande ce que c'est.
Le fils: - Puis tout à coup, tout a crevé. Tout a crevé, je n'ai plus rien vu. Je ne sais pas si c'était parti ou si c'était toujours en place.
Le fils: - Le lendemain soir je suis sorti le premier et ,j'ai vu une lumière vert-bleu, mais elle était assez loin au ras du sol dans un champ. Mon père est venu et nous avons revu « l'obus » ensemble tous les deux. Il était 21 heures, 21 h 30 environ. »
« Une chose vivante»
Dans cette séquence, le fils est confronté avec le phénomène. Appelé à devenir un témoin important, il n'avait rien vu encore, et n'avait pas attaché un très grand crédit au récit de la soirée de juin 1966. Alerté, il ne voit rien de prime abord, et sa première réaction (hors-texte) fut que son père avait eu des visions. Il devient à son tour spectateur, va s'intéresser au phénomène, et dans une autre séquence va le poursuivre en voiture sur la route et cela donnera lieu à des péripéties multiples et imprévues.
Le père est ici au centre de la soirée. Si jusqu'à ce moment il avait été simplement intrigué, parce que peut-être relativement éloigné des manifestations, cette fois il aura peur, même si une certaine pudeur le retient pour l'avouer franchement. Cette « boule » qu'il veut surprendre pour voir ce qui se cache « derrière », et qui par deux fois déjoue ses calculs en lui barrant la route, le déconcerte.
Il est intéressant d'analyser ses réactions à travers le texte brut que nous n'avons pas intentionnellement trop poussé pour ne pas influencer le témoin.
Elles sont la manifestation d'un mécanisme intérieur de la pensée qui, ne s'étant pas exprimée verbalement, est réelle dans les faits. Dès l'apparition de la « boule » on a le sentiment qu'il ne la confond plus avec un phénomène purement physique, du feu par exemple, mais qu'il pense à une « chose vivante ». Il lui attribue même une « face » ou tout au moins une partie « avant » et il imagine qu'en la surprenant par « derrière » il ne sera pas vu et apprendra autre chose. C'est bien cela qui résulte de ses paroles. L'on voit deux fois ses intentions contrariées, et dans l'intervalle ce chemin qu'il parcourt et qu'il n'avait pas prévu, avec une compagnie insolite. Que ces 60 mètres lui ont paru longs! « ça me suivait tout le long, tout le long, tout long... » On a le sentiment de parcourir une route interminable qui pourtant ne lui a pas demandé guère plus d'une minute. Il a bien pensé tout en cheminant lui lancer quelque chose, une branche, une pierre, ou se servir de sa lampe, mais il n'a pas osé. En réalité il a eu peur d'une réaction inconnue de la « chose » parce que déjà il lui attribue une vie propre, une volonté. Il veut en finir néanmoins et pense au petit chemin de terre où il aura peut-être l'occasion de la surprendre. Il y arrive, mais, là, voilà qu'elle occupe l'entrée, lui en interdisant l'accès. Alors c'est la fin, il abandonne la partie, et la boule « victorieuse » le raccompagne jusqu'à la maison.
Cette notion de peur ou d'angoisse devant ces phénomènes déconcertants, on la retrouve chez les deux femmes. Depuis les premières apparitions, il règne dans cette ferme un sentiment d'insécurité, comme une menace qui plane, et à l'appel du père la coupe déborde, la mère se met à pleurer. L'aïeule qui se veut forte, et qui tâche de relever le moral de sa fille en l'apostrophant, n'en est pas pour autant rassurée.
C'est le fils qui plus tard analysant la situation dira à M. Chasseigne : « J'ai la nette impression qu'on aurait pu voir beaucoup d'autres choses si on s'y était pris autrement, mais « ils » avaient compris qu'on avait la trouille ».
C'est bien semble-t-il le sentiment qui se dégage de cette enquête, et qui pour une bonne part a été le motif du silence des témoins.
Nous ne saurions passer sous silence le comportement de cette « boule » car c'est probablement la première fois qu'il est donné de faire une telle analyse, et on est pris de vertige devant ce qu'elle laisserait supposer. Le père est seul, voit cette « boule », il ne parle pas : il n'y a per sonne. Il décide intérieurement d'aller chercher une lampe de poche électrique, faire le tour de la maison en passant par la route, pour surprendre cette « boule » par derrière. Il passa à exécution, mais parvenu sur la route la « boule » est là, semblant l'attendre, l'obligeant à modifier son dessein. Elle semble avoir deviné ses intentions et les avoir prévenues. Oh! on peut invoquer le hasard, mais le fait va se reproduire une deuxième fois dans les mêmes conditions, lorsqu'elle lui interdira l'accès du chemin de terre. Pour aussi osée que soit notre pensée, nous sommes conduits à invoquer une connaissance préalable par la « boule » des in tentions du témoin. Il n'y a eu aucune parole échangée, avec quoi ou qui d'ailleurs? il s'agirait donc d'une lecture psychique de la pensée, à l'insu du témoin. Hypothèse fantastique, mais tout ici est irrationnel y compris cette présence qui paraît bien être une réalité.
La « boule » de plus paraît avoir un comportement motivé dont l'ana lyse est plus difficile. Il serait hasardeux de soutenir qu'elle voulait diri ger l'action du père, mais nous sommes bien obligés de constater que par deux fois elle s'est opposée à l'exécution d'un plan préconçu. Le résultat en a été que le père est revenu dans sa ferme et qu'il a appelé son fils. Il n'est pas interdit de penser que c'était là la motivation possible. Le fils va devenir « une fois contacté » le véritable témoin de ces manifestations, celui devant lequel va se déployer le phénomène MOC dans une gamme variée d'observations, ce qui lui laissera des séquelles que nous retrouverons ailleurs dans d'autres lieux, à d'autres époques 1.
FERNAND LAgarde
1. « Mystérieux objet céleste », terme équivalent à celui d'OVNI (NdF).
2. Le problème des «contactés» est discuté dans la dernière partie de ce volume (NdR).
Source: "Les apparition mystérieuses"- collection Les pouvoirs inconnus de l'homme, éd Tchou/Laffont, Chapitre 4.
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brunehaut
Bonjour,effectivement,le fils,au 11 janvier 67,suivit une "boule" avec sa voiture jusqu'à revoir "l'obus" s'incliner à 45° et décoller à une vitesse incroyable.Il poursuivit la "boule" pendant 3 kms,puis la voiture s'arreta et les phares s'éteignirent(classiquement).
Alors il vit une toute aussi classique soucoupe volante avec 2 "cockpits" et 2 occupants,il sortit de son véhicule,sentit une vague de chaleur et une "sorte de paralysie".L'objet fit quelques manoeuvres et repartit vers le ciel à une vitesse vertigineuse!
A ce moment,il semble que le témoin ait perdu connaissance,il se réveilla dans un fossé,ne se souvenant de rien,remonta dans sa voiture et rentra chez ses parents vers 4h00;Ses parents n'ayant pas pu sortir à cause de 2 boules devant les 2 passages de la maison.
Pendant 2 mois,le fils semble avoir souffert de somnolence et d'expériences de "sortie du corps".
En septembre 2005,Georges Metz de LDLN,a recueuilli la suite des aventures du fils qui est devenu un "contacté" à base extraterrestre et vie chez les aliens à partir de 1969.
Voir LDLN n°381,avril2006,p31-42
n°382,juillet2006,p36-42
n°383,nov2006,p42-44
n°384,janv2007,p31-34
voir aussi TOP SECRET n°35,"les hommes en noir"
et "Ovni,dimension autre",BD Dargaud éditeur,Jacques Lob et Robert Gigi
Bonjour Christian,
Merci pour ce complément d'information.
Avez-vous davantage de détails concernant les aventures du fils ?
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brunehaut
Voila un texte tres interèsant, et même intiguant. On peut y retrouver les élements classique mainte fois observés dans d'autres temoignages.
La description varie suivant les générations, le feu, les boules, "l'obus" etc...
Et le même phénomene de "repli" se produit lorsque la peur est evoqué, materialisée. Serait-il possible que le phénomene de " couper la route " au pere, etait une tentaive de contacte, avortée par la peur qui en a resulté ? , ou ont-ils provoqué l'évenement pour etudier les réactions de l'être humain ? car apparement ils se sont ensuite orienté vers le fils qui vraisemblablement etait moins craintif, (le texte suggere qu'il soit remonter dans sa chambre, bien que éclairée( analysée ??)).
une suite existe a cette histoire, elle concerne le fils, existe-il un texte ou un temoignage sur ce qui lui est arrivé par le suite ?
voila un cas qui aurait mérité une etude plus approfondie
Agrandir cette image Cliquez ici pour la voir à sa taille originale.
Aveyron © LDLN 1970
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brunehaut
Bonjour brunehaut,malheureusement je n'ai pas encore de scanner et le texte du Top Secret n°35 fait 9 pages A4 bien remplies.J'ai voulu le recopier à la main mais avec ma vitesse de frappe...j'y serais encore!
Pour essayer d'etre synthetique,il a fait plusieurs RR3 avec les meme ET genre Adamski(grands blonds,cheveux longs)puis le Guide lui aproposé de l'emmener dans une base au Népal(Himalaya)toute une année-1969-.
Là,il y a une foule de détails,discussions avec le guide,puis une "biologiste" qu'il a approchée de trés prés.Il a assisté à une réunion avec invités téléportés et images en 3D.La base,fort longuement décrite,était(est?) dans une grotte immense,pleine de vaisseaux,de salles dont certaines lui étaient interdites par "champ de force",bref,c'est trés touffu!
Ces contacts ont duré 7ans avec intervalles + ou - longs entre chaque visites.Robert L. a travaillé comme conducteur de pelles mécaniques jusqu'à ce qu'il rentre,en1977,à l'hopital de Rodez comme aide-soignant.Il a fourni des documents (Sécurité Sociale)ou l'on voit qu'en 1969 il n'a pas travaillé.
Le 14 octobre 2005, Robert L.est venu aux rencontres ufologiques de Chalons-en- Champagne à l'invitation de Georges Metz.Il y a eu une réunion avec Christel Seval et le CA Gilles Pinon à qui il a raconté tout.
Voilà,pour l'instant,je vais voir ce que je peux faire.
Cordialement.
Rencontre rapprochée en Aveyron - France (11/01/1967)
En voiture, le fils du fermier voit l'obus descendre près de la maison. Il s'en approche en voiture et constate qu'il est vraiment très grand.
Deux des petites sphères y entrent, puis il devient très brillant. Le témoin entend un sifflement. L'obus s'incline à 45° et part à une vitesse vertigineuse. Un autre objet arrive.
Il a la forme d'un disque avec 2 coupoles transparentes au sommet :
A l'intérieur… il m'a semblé que c'était éclairé comme une lumière verte… dans les deux dômes… et j'ai vu… remarquez que je ne suis pas sûr… il faisait très sombre, on pourrait dire qu'il y avait une sorte de brouillard, dedans ou dehors… je ne sais pas… à l'intérieur ou à l'extérieur des deux dômes. De toute façon, j'ai cru voir 2… eh bien, j'ai vu 2 personnes comme… des êtres humains, voyez-vous ?… des cosmonautes. Ils portaient des combinaisons d'aviateur, vertes avec des bandes blanches. L'objet lui-même oscille sur place d'avant en arrière : - Les portes de la voitures étaient-elles fermées pendant ce temps ? - Oui, oui… j'ai dû ouvrir la fenêtre, je crois… Ou c'était peut-être après, quand c'est parti, que j'ai ouvert la glace… et alors j'ai senti une vague de chaleur et je me suis senti presque… je ne pouvais bouger ni les mains ni les pieds tant que cela a duré.
Observation de la même créature volante qu'il y a 2 mois par Madame McDaniel.
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brunehaut
"les meme ET genre Adamski(grands blonds,cheveux longs)"
Je pense que ce type d'ufonaute est le fruit d'une invention de la part de partisans de la "race aryenne".
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Veuillez svp respecter le forum en postant des messages sérieux et constructifs sans SMS. Merci à l'avance et bonne lecture.
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Bonsoir à tous,
Sur ce site, il y a un article en archive intitulé "Hantise de boules lumineuses" de Fernand Lagarde concernant les observations de sphères faites dans le département
de l'Aveyron en 1966-67.
Or, le lieu exact où est situé la ferme n'est pas fourni. J'aimerais pouvoir étudier la géologie du lieu (présence de failles ou de minéraux particuliers et activité sismique des
environs) sur des cartes de la région. Cette information est-elle disponible maintenant?
C'est que les phénomènes observés font énormément penser à des lumières tectoniques ("earth lights") par leur apparence et leur comportement.
Un coup d'oeil nouveau sur un cas classique intéressant!
Merci d'avance,
Jean, un mordu des phénomènes rares.
Bonsoir à tous,
Désolé de poster la question à deux endroits. Je suis nouveau sur ce forum et je
ne pouvais pas poster sur ce fil de discussion.
J'aimerais savoir où se situe exactement la ferme dans le département de l'Aveyron afin de pouvoir étudier la géologie du lieu (présence de failles ou de minéraux particuliers et activité sismique des environs) sur des cartes de la région. Cette information est-elle disponible maintenant?
C'est que les phénomènes observés font énormément penser à des lumières tectoniques ("earth lights") par leur apparence et leur comportement.
Un coup d'oeil nouveau sur un cas classique intéressant!
Merci d'avance,
Jean, un mordu des phénomènes rares.
Bonjour,
J'aimerais savoir si quelqu'un ici aurait un peu plus d'information récente sur cette observation de boules lumineuses et notamment sur la localisation exacte de la ferme dans l'Aveyron . En sait-on un peu plus aujourd'hui ?
Je vois que la question a déjà été posée par um membre mais ce dernier n'est pas venu ici depuis plus d'un an.
Merci d'avance pour les éventuels retours! (ici ou en MP)
Julien
Je ne me suis pas penché plus sur ce cas, mais il semblerait qu'il y ai un rapport avec "l'affaire Roro" (Robert L.) et sa ferme de Roumagnac, cela va bien au-delà des boules de lumières... Oriente tes recherches dans ce sens, tu devrais pouvoir trouver pas mal de sources sur la question
@+
Merci beaucoup Polyèdre!
Julien
C'est dans le bouquin de Georges Metz "ovnis en France",éditions Interkeltia dirigée par Christel Seval.
"Il s'agit du hameau de Roumagnac,dépendant de la commune de la Fouillade,située à 17 kms au sud de Villefranche-de-Rouergue par les routes départementales D.922 et D.160"
www.interkeltia.com
Bonjour Christian,
Bonjour Irving,il y a le bouquin de 1974 du groupe Ldln dirigé par F.Lagarde "Mystérieuses soucoupes volantes" éditions albatros (édiitions étapes) qui doit etre dur à trouver (price minister?).Peut-etre chez ovnilivres en suisse?
Bonjour Christian,
Merci pour la référence! J'ai cherché le bouquin et je l'ai trouvé en occasion sur Amazon.fr qui ne livre pas au Canada... Mais je vais quand même pouvoir me le procurer puisque je compte venir en France bientôt!
J'ai découvert que Fernand Lagarde avait été parmi les premiers à envisager un lien entre les OVNIs et la géologie et qu'il aussi essayé de développer la compréhnesion de l'origine de ce lien.
Bien cordialement!
Julien
Merci Christian!
Ovnilivres, en Suisse dis-tu: à Genève?
Je serais bientôt dans ces parages..
C'est www.e-bouquiniste.com
Merci!".