WASHINGTON - Alors que le président Obama a été de promouvoir une immigration révision au Mexique, six anciens membres du Congrès réuni à deux blocs de la Maison Blanche à considérer ce qu'ils considèrent comme le secret gouvernemental forcée entourant un autre type de visiteur: la nature qui viennent de beaucoup plus loin .
Mike Gravel, ancien sénateur de l'Alaska, au-dessus en 2007, est apparu cette semaine sur un panel pour discuter de la vie extraterrestre.
Chaque jour de cette semaine, les anciens législateurs ont présidé panneaux composés d'universitaires et - anciens, bien sûr - responsables gouvernementaux et militaires, qui étaient là pour discuter de leurs recherches ou de leurs propres témoignages des objets volants non identifiés et les extraterrestres qui aurait vraisemblablement occupé eux.
«Quelque chose suit la planète, et ils surveillent très prudemment, car nous sommes une planète très guerrière», a déclaré Mike Gravel, ancien sénateur démocrate de l'Alaska qui a couru dans les deux primaires démocrates et libertaire présidentielles en 2008.
M. Gravel et ses collègues panélistes ont été assemblés par le Groupe de recherche Paradigm , qui se dit engagé à mettre fin à "l'embargo sur la vérité» du gouvernement sur l'existence d'une vie extraterrestre. Les législateurs étaient là dans l'espoir que leur présence et leur crédibilité politique suffirait à persuader le Congrès à prendre la question au sérieux.
«J'ai exploré la façon dont nous pourrions avoir ce problème de l'ombre de la frange lunatique", a déclaré Roscoe G. Bartlett, un ancien représentant républicain du Maryland.Avant sa défaite l'an dernier, M. Bartlett a été connu pour tirer la sonnette d'alarme sur la menace posée à l'infrastructure énergétique de la nation par impulsion électromagnétique ou EMP, l'onde de choc d'une arme nucléaire a explosé au-delà de l'atmosphère de la terre.
Appelé audience des citoyens en matière de divulgation , l'événement aurait pu se tromper que le plaidoyer pour la transparence du gouvernement, et certains des membres du groupe ont curriculum vitae impressionnants.
«Je suis venu pour comprendre et apprécier l'importance de gouvernement ouvert et transparent et la puissance de la vérité", a déclaré Paul T. Hellyer, qui a servi comme ministre canadien de la Défense dans les années 1960.
«Nous ne sommes pas seuls dans le cosmos», at-il ajouté.
Une des raisons les ex-membres du Congrès ont accepté de s'asseoir sur l'estrade et poser des questions peut-être la curiosité.
"Notre pays a banalisé il, a fait une blague, a rendu les gens verts avec des cornes qui sort", a déclaré Carolyn Kilpatrick, un représentant démocrate du Michigan qui a perdu son siège en 2010. "Maintenant, je trouve que c'est beaucoup plus que cela. Et ce n'est pas une blague. Et il ya des données scientifiques qu'il peut y avoir quelque chose là-bas ».
Une autre raison aurait pu être le $ 20.000 selon les organisateurs ont payé chaque panéliste. Mais ils sont encore le maintien d'un sain scepticisme.
"Tout simplement parce que le gouvernement aurait pu avoir un document sur la façon de gérer les extraterrestres ne veut pas dire il y avait tout», a déclaré Merrill Cook, un républicain de l'Utah qui a été deux fois élu à la Chambre.
Les panneaux de cette semaine ont été les fruits mûrs pour les médias alors que le président Obama est hors de la ville et le Congrès est en dehors des sessions, et pas tous les gens qui étudient les OVNIS pensent que les réunions aideront à améliorer leur stature à Washington.
«Il ya vraiment quelque chose à ce sujet, et il ya un côté sérieux, mais ce n'est pas ce qui est présenté comme cet événement», a déclaré Leslie Kean , un journaliste et auteur de "OVNI: Generals, les pilotes et les responsables gouvernementaux Allez sur le enregistrement ", un recueil de témoignages de première main par des gens qui croient qu'ils ont vu eux.
La conclusion que les OVNIS sont la preuve d'une vie extraterrestre est erronée, dit-elle, et les personnes qui diffusent cette croyance entravée soutien à la recherche scientifique réel.
Malgré le ridicule qui accompagne habituellement la discussion des OVNIS, ils ont été discrètement parlé dans les couloirs du pouvoir ici. Certains panélistes lors de l'événement cette semaine compté parmi les vrais croyants John D. Podesta, chef de cabinet à la Maison Blanche par le président Bill Clinton, en raison de son rôle dans le décret 12958 , qui exige la déclassification de la plupart des documents du gouvernement plus de 25 ans.
Mais l'existence possible d'une vie extraterrestre n'est pas exactement pourquoi il croit en la transparence du gouvernement, M. Podesta a dit.
«À la fin de la journée, il va y avoir des gens qui disent que même si vous avez fait cela, il doit y avoir d'autres fichiers qui existent que vous n'êtes pas divulguer", at-il dit dans une interview.
Mais objets dans le ciel ont suscité son intérêt. En Juin 2011, le Center for American Progress a accueilli des représentants du gouvernement, du Pentagone, de la NASA et du ministère des Transports, ainsi que le personnel du Congrès et d'anciens responsables d'organisations de renseignement, pour un exposé de Mme Kean et experts du monde universitaire et des militaires étrangers .
La séance d'information privée a été organisée pour discuter d'une proposition que le gouvernement établisse un petit bureau de deux membres du personnel qui serait enquêter de manière sélective mystérieux vers le ciel observations et de chercher à les comprendre en appliquant la méthode scientifique. La proposition ne mentionnait pas les OVNIS, mais plutôt de UAP, les phénomènes aériens non identifiés, comme si ceux qui ont rédigé la proposition était tout à fait conscient de la façon dont leur objectif pourrait être perçu.
«Ils étaient des gens crédibles, intéressantes qui avaient observé des phénomènes aériens inexpliqués et qui étaient dignes d'un suivi supplémentaire", a déclaré M. Podesta. "Going back et en regardant et la déclassification des documents gouvernementaux de quoi que ce soit existent est une chose intelligente à faire."
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